L’illustre acteur de cinéma Jean-Paul Belmondo a rendu l’âme dans la journée du lundi 6 septembre à l’âge de 88 ans. La célébrité est née le 9 avril 1933 à Neuilly-sur-Seine et a fait une très grande carrière dans le cinéma. Il a joué dans énormément de films entre les années 50 et les années 80. On peut citer. A bout de souffle, Un singe en hiver, Classe tous risques, et bien d’autres dizaines de films. Pour récompenser l’ensemble de sa grande carrière, il a plusieurs fois reçu des distinctions.
Jean-Paul Belmondo, l’homme aux nombreuses réalisations
La mort de Jean-Paul Belmondo est un pas de plus dans l’inquiétude de voir disparaître une France à laquelle on tient.
C’est un exemple : courage, transmission, respect des anciens, culture, amour du cinéma populaire… pic.twitter.com/MIS6HUu4p7— Charlotte d’Ornellas (@ChdOrnellas) September 7, 2021
Grand acteur, directeur de théâtre et producteur, Jean-Paul Belmondo avait fait les plateaux pendant plus de 50 années. Il a marqué le cinéma français du XXe siècle, et ce pour toujours.
Jean-Paul Belmondo à ses débuts avait un excellent dynamisme dans l’exercice de ses rôles au cinéma. Quant à son charme, cela faisait de lui un homme qui attirait les femmes tel un miel qui attire les mouches. Ce sont autant de qualités qui lui garantissaient la considération du public et un grand succès à chaque apparition sur scène.
Jean-Paul Belmondo a tourné avec les plus célèbres réalisateurs de son époque. On peut citer Henri Verneuil pour Un singe en hiver et Cent mille dollars au soleil. Ensuite, Philippe de Broca pour L’homme de Rio, puis François Truffaut pour La sirène du Mississippi. Ne peut-être omis Alain Resnais pour le film Stavisky.
Par la suite, Jean-Paul Belmondo s’est orienté vers les films spectacles avec des cascades qu’il réalisait personnellement. C’était une décision qu’il avait prise dans la quarantaine, le but étant de transformer son métier dans les années 70. On le verra donc dans Le Cerveau (1969), Peur sur la ville (1975), L’Animal (1977) et L’As des as (1982).
La triste nouvelle de son décès
Jean-Paul Belmondo vient de nous quitter et c’est aussi son lien historique avec le @PSG_inside qu’il laisse derrière lui. Présent autour de D.Hechter dans le projet de relance du PSG, au printemps 1973, il aura apporté tout son soutien à un jeune club alors menacé de disparition
— Paris Saint-Germain (@PSG_inside) September 6, 2021
La première annonce de son décès avait été effectuée par son ami et avocat Me Michel Godest. Selon ses déclarations, cela faisait quelque temps que Jean-Paul Belmondo se sentait très fatigué : il s’agirait donc d’une mort naturelle. Pour l’ami, c’est un véritable coup dur, car c’est un grand vide qui se crée.
Se souvenant de la bonne humeur et de l’optimisme de l’illustre disparu, Michel voyait en lui l’ami que beaucoup rêvaient d’avoir. Le Maître affirme pour finir que c’était un vrai et grand homme, un monstre sacré.
Le Président Emmanuel Macron s’est empressé de rendre des hommages sur sa page twitter. On peut entre autres lire : « Il restera à jamais Le Magnifique (…) ».
Un grand hommage rendu à l’illustre disparu avec 16 films de lui sur Netflix !
Un bon petit programme de Jean-Paul Belmondo sur Netflix pour les adieux.. (et « Léon Morin, prêtre » hors de l’img) pic.twitter.com/UfDe7eNWbp
— Killy 怪物 (@Riche_ard) September 6, 2021
La plateforme Netflix met à l’honneur Jean-Paul Belmondo. Y sont proposés au minimum 16 films joués avec Bébel, ses plus grands succès sont désormais accessibles en ligne. C’est un ensemble des œuvres principales réalisées le long de la grande carrière de ce grand acteur français. On peut y retrouver les films suivant :
Léon Morin, prêtre ; Cartouche ; Un homme qui me plait ; Le Magnifique ; L’Héritier ; Stavisky, etc. Il ne reste plus qu’à souhaiter un bon visionnage.